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Voici les nouvelles biogaz et en énergie renouvelable dans le monde.
Les objectifs climatiques de la Wallonie seront “encore plus ambitieux dans les mois à venir”, a promis le ministre régional de l’Energie et du Climat, Jean-Luc Crucke (MR) alors que le Plan National Energie Climat (PNEC) – qui détermine comment la Belgique va contribuer aux objectifs énergétiques et climatiques européens – vient d’être approuvé en comité de concertation. Dans ce cadre, la production wallonne d’énergie renouvelable devrait passer d’environ 13% en 2020 à 23,5% à l’horizon 2030, tant en chaleur qu’en électricité. La Région devrait également réduire sa consommation d’énergie finale de l’ordre de 22,7% en 2030 par rapport à 2005 (contre une baisse de 20% à l’échelle européenne).Pour atteindre ces objectifs, la Wallonie prévoit notamment le déploiement d’une flotte de véhicules moins émetteurs de gaz à effet de serre, allant de pair avec la promotion, voire le soutien, des carburants alternatifs.
Les véhicules électriques et à carburants de remplacement jouent un rôle important dans la marche du Canada vers un avenir sobre en carbone. Comme les Canadiens font des choix plus écologiques, notre gouvernement leur offre plus de possibilités de rouler vert. Le député de London-Centre-Nord, Peter Fragiskatos, au nom du ministre des Ressources naturelles du Canada, l’honorable Amarjeet Sohi, a annoncé aujourd’hui l’octroi de 3 millions de dollars à la Clean Energy Fuels Corp. et à l’Union Energy Solutions Limited Partnership pour trois stations de gaz naturel comprimé (GNC) en Ontario. Les stations, qui ont chacune reçu une aide financière d’un million de dollars, sont situées à London, à Napanee et à Windsor et permettront aux conducteurs de camions lourds de rouler en toute confiance sur l’autoroute 401, en Ontario.
Lancé à l’initiative de la municipalité, le plan « MUS » vise à accélérer la transition énergétique du parc automobile madrilène en finançant l’acquisition de véhicules propres. Doté d’un budget de deux millions d’euros, le programme est ouvert jusqu’à épuisement des fonds et permet de financer tous types de véhicules alternatifs. Pour un véhicule GNV, l’aide peut aller jusqu’à 2500 euros et s’accompagne d’une aide additionnelle de 1000 euros versée par les concessionnaires, soit 3500 euros au total. Axée sur les modèles d’entrée et de milieu de gamme, l’aide ne sera accordée qu’aux véhicules dont le montant est inférieur à 25.000 euros. Multi-énergies, le dispositif lancé par la municipalité de Madrid prévoit également des aides pour les véhicules électriques, hydrogène et hybrides rechargeables.
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Les plus récentes données de tonnage acheminé à l’usine de biométhanisation via la collecte du bac brun sont réjouissantes. En effet, l’usine a globalement connu une hausse de près de 15 % de volume émanant de la collecte, comparativement à la même période l’année dernière. Au 30 novembre 2018, plus de 3383 tonnes de matières avaient ainsi été détournées de l’enfouissement, un tonnage qui s’additionne au volume émanant des autres sources d’approvisionnement. Autant à Rivière-du-Loup que pour l’ensemble des utilisateurs, le tonnage à cette date avait en outre dépassé le total de l’année 2017. Ces résultats sont encourageants et démontrent que les campagnes de sensibilisation et les efforts concertés portent leurs fruits. De plus en plus de ménages et industries, commerces et institutions (ICI) adhèrent à la collecte et y participent avec assiduité.
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La Ville de Québec a précisé son projet de centre de biométhanisation qui sera en vigueur en 2022 sur le site de la station de traitement des eaux usées Est, près de la baie de Beauport. Les travaux de construction du futur centre de biométhanisation commenceront en mai 2019. L’installation traitera deux sortes de déchets, les résidus alimentaires et les boues municipales. C’est au courant de l’année 2022 que les citoyens pourront jeter leurs déchets de table et alimentaires dans un sac spécial, qui, une fois fermé, pourra être jeté dans le bac à ordures générales. Même si le type de sacs reste à choisir (compostables ou en plastique plus épais pour les odeurs, notamment), il est prévu que ceux-ci seront distribués gratuitement aux résidents.
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L’opération Compos’trions est menée auprès des habitants du quartier Saint-Laurent de Cosne-sur-Loire. Ils sont invités à déposer leurs déchets dans des composteurs. Ensuite, ils pourront récupérer du compost pour leurs plantations. Huit composteurs ont été installés, dans le quartier Saint-Laurent de Cosne-sur-Loire, rue du Mail-Saint-Laurent et avenue de la Paix. Une démarche de la communauté de communes Loire, vignobles et Nohain qui s’inscrit dans le cadre du contrat de ville, visant à dynamiser le quartier et créer du lien social. Installés à la mi-novembre, les quatre composteurs sur les deux sites n’attendent plus que les habitants déposent leurs déchets dedans. « Des épluchures, du marc de café, de thé, des fleurs fanées, des coquilles d’œuf cassées », détaille Françoise Pillard, vice-présidente de la communauté de communes en charge de l’environnement.
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Quand nos déchets produisent de l’énergie : le site d’enfouissement de St-Palais, au nord de Bourges, alimentait déjà des turbines pour faire de l’électricité, il fournit également depuis début novembre du bio-méthane qui est injecté dans le réseau géré par GRDF. Le bio méthane représente 5 % des gaz à effet de serre : cette pollution devient aujourd’hui une source d’énergie, un cercle vertueux rendu possible par les progrès techniques. Ce bio-méthane n’était jusqu’à présent pas assez pur pour être injecté. C’est la start up Waga qui a mis au point ce procédé d’épuration : ” Ce bio gaz là est très complexe, il contient du méthane et du CO2 mais aussi de l’azote et de l’oxygène, explique Mathieu Lefèvre, pdg de Waga. Jusqu’à présent, personne n’avait été capable à séparer efficacement l’azote et l’oxygène, du méthane.
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L’entreprise toulousaine Ilek, premier fournisseur d’électricité verte et locale lance une nouvelle offre à destination des particuliers : du biogaz made in France, et bientôt in Occitanie. « Le gaz commercialisé par les fournisseurs en France est intégralement importé. Il provient exclusivement d’Europe du Nord, de Russie ou d’Algérie », constate Remy Companyo, cofondateur de l’entreprise Ilek. À l’inverse, cette société toulousaine s’est positionnée sur ce marché en proposant à ses clients une toute nouvelle offre de gaz naturel, produit en France. Le biogaz distribué par Ilek est issu d’un procédé de méthanisation. Il s’agit de transformer des déchets agricoles en énergie via un processus de fermentation. « Une économie circulaire qui permet le retraitement des matières organiques tout en garantissant un tarif équivalent au marché fossile », précise Remy Companyo.
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Représentant une nouvelle génération de ferries alimentés au gaz naturel, le Honfleur a été mis à l’eau ce vendredi 14 décembre. Après la découpe de la première tôle en mars et la pose de la quille en août dernier, cette mise à l’eau est une nouvelle étape importante pour le lancement de ce géant de 10.000 tonnes, conçu et construit au chantier naval de FSG, au nord de l’Allemagne. Capable d’accueillir jusqu’à 1680 passagers et équipé de 261 cabines, le Honfleur se distingue par sa motorisation au gaz naturel liquéfié (GNL). Celle-ci permet de réduire jusqu’à 25 % les émissions de dioxyde de carbone tout en retirant quasi totalement les émissions de dioxyde de soufre, de dioxyde d’azote et de particules fines. Optimisée sur le plan hydrodynamique, la coque permet également de réduire la consommation tout en limitant les vibrations et nuisances sonores pour offrir davantage de conforts aux passagers.
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Le Réseau interprofessionnel des sous-produits organiques (Rispo) sollicite les exploitants d’installations de traitement de déchets organiques dans le cadre d’une enquête visant à analyser les atouts et les freins d’un modèle de valorisation de la matière organique associant compostage et méthanisation. En effet, les évolutions réglementaires récentes, liées à la loi de transition énergétique pour la croissance verte, doivent conduire à une meilleure mobilisation et valorisation des déchets organiques. Mais parallèlement le développement de la méthanisation agricole et territoriale risque de capter une partie de cette ressource et doit conduire les professionnels du déchet organique à se questionner sur l’évolution de ce marché, ses perspectives et sur les stratégies à mettre en place pour capter de la valeur.