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Voici les dernières nouvelles de l’industrie du biogaz et le biométhane:
Cet évènement est le rendez-vous incontournable de l’industrie des énergies renouvelables. L’atteinte des cibles climatiques québécoise exigera une hausse de la production d’énergie renouvelable et de la capacité de stockage. Certains ateliers porteront notamment sur les avancées dans le secteur du gaz naturel renouvelable au Québec et les retombées économiques communautaires générées par les bioénergies. Dans le contexte actuel, l’expansion de cette industrie sera un élément crucial de la relance économique québécoise.
Enfin, c’est lors de ce colloque que sera présentée la Feuille de route 2030, une analyse détaillée de la contribution des différentes filières d’énergie renouvelable à l’atteinte des objectifs de réduction d’émissions de GES.
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Veolia avait acquis, le 5 octobre, 29,9 % des 32 % du capital détenus par le groupe d’énergie Engie pour 18 euros par titre, au terme d’un accord avec son président, Jean-Pierre Clamadieu. Le prix qu’il proposera aux autres actionnaires – même en cas de situation économique « défavorable » lors du lancement de l’OPA – et qui valorise le groupe Suez à 11,3 milliards d’euros, a annoncé M. Frérot.
« L’unique obstacle à la réalisation de l’offre de Veolia, c’est l’attitude de ce conseil d’administration de Suez, qui joue contre les intérêts de ses propres actionnaires », affirme le patron de Veolia. Il n’en adresse pas moins une longue lettre à son président, Philippe Varin, dans laquelle il lui propose de discuter de plusieurs points susceptibles de relancer le dialogue, alors que les ponts sont coupés entre eux depuis début octobre.
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Total étend son périmètre ! Le géant français du pétrole et des énergies renouvelables a acquis Fonroche Biogaz, une société qui conçoit, construit et exploite des unités de méthanisation en France. Avec près de 500 gigawattheures (GWh) de capacité installée, qui a doublé entre 2019 et 2020, Fonroche Biogaz est aujourd’hui le leader du marché français de la production de gaz renouvelable avec plus de 10% de part de marché grâce à un portefeuille de 7 unités en service et de 4 autres projets en développement à court terme, a indiqué la compagnie pétrolière.nt agricole et territoriaux en Normandie. Les modes de valorisation du biogaz peuvent être la combustion, la cogénération ou la production de biométhane pour l’injection ou le carburant (bio-GNV).
Créée à l’initiative de la Région, PROMÉTHA est à la fois un centre de ressources et un lieu d’échanges et d’information au service des acteurs de la méthanisation en Île-de-France. Son objectif : développer le recours à cette technique de transformation des déchets en énergies vertes sur le territoire.
Consistant à recycler des déchets divers en énergies vertes, la méthanisation est pratiquée en Île-de-France dans 30 unités dont l’objectif de production est de l’ordre de 5 TWh/an de biométhane (un gaz vert) à l’horizon 2030.
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Les travaux de génie civil ont débuté. D’ici l’été 2021, une unité de valorisation des biodéchets par méthanisation baptisée Modul’OYvelines verra le jour à Carrières-sous-Poissy (Yvelines). Fruit d’un partenariat avec le Département, cette petite station de 2.000 m2 pourra récupérer les déchets alimentaires des restaurants scolaires de 34 collèges qui en produisent plus de dix tonnes chaque année.
Porté avec la société gestionnaire des cantines des collèges yvelinois, C’Midy, le projet vise d’ici 2023 à valoriser les restes des assiettes des élèves issus des 118 établissements publics que compte le territoire. Engagé dans la lutte contre le gaspillage alimentaire, Modul’OYvelines sera également le premier en Ile-de-France à fournir du gaz à partir de biodéchets, et non de productions agricoles comme le font les usines de méthanisation dans la région.
C’est une transition qui va se faire sur plusieurs années : d’ici 2029, toute la flotte de bus Twisto de Caen (Calvados) va passer du diesel au biogaz.
Les premières commandes sont passées en ce début d’année 2021. Les 25 premiers bus à rouler au biogaz seront opérationnels à l’automne 2021. Au total, d’ici 2029, les 200 bus Twisto utiliseront cette énergie.
« Dans un premier temps, nous utiliserons le gaz fourni par GRDF qui est d’origine bio. Le but final est d’utiliser la méthanisation des boues de la station d’épuration de Mondeville lorsque les travaux seront achevés »
— Joël Bruneau, Président de Caen la mer.
Nous avons officiellement lancé notre nouveau rapport sur l’industrie du biométhane la semaine dernière, disponible pour tous nos membres Premium. Au fil des années, notre rapport annuel est devenu une véritable référence pour nos membres et tous les acteurs clés de la filière du biométhane.
Le document recense l”information et des données provenant de plus d’une centaine de fournisseurs, d’associations, de développeurs de projets et d’instances publiques en Amérique du Nord et en Europe. Cette 4e édition comprend:
Cet appel à projets vise à accompagner la diffusion de technologies de digestion éprouvées. Les modes de valorisation du biogaz peuvent être la combustion, la cogénération ou la production de biométhane pour l’injection ou le carburant (bio-GNV).
L’octroi d’une aide financière par l’ADEME ou la Région Pays de la Loire n’est jamais systématique. Il s’agit au contraire de soutenir les projets les plus pertinents sur le plan environnemental, énergétique et sociétal. Pour autant, un haut niveau de performance environnementale ne soustrait pas ces projets à l’exigence d’être optimisés économiquement, donc reproductibles et diffusables.
La filière biométhane en France connaît aujourd’hui une croissance soutenue : les projets en cours de développement représentent plus de 7 Mds€ d’investissement futurs et plus de 26 000 créations d’emploi dans la filière1. En ce début d’année 2021, sa dynamique est toutefois impactée par le foisonnement d’enjeux réglementaires : transposition de la directive RED II, modification du fonctionnement des garanties d’origine, évolution de la fiscalité pour les consommations de biométhane, évolution du mécanisme de soutien tarifaire à la filière et mécanismes extra-budgétaires, montée en puissance du droit à l’injection, évolution des possibilités réglementaires de sortie du statut de déchet des digestats, etc…autant de sujets complexes sur lesquels France Biométhane souhaite apporter son expertise et contribuer au débat, au travers de la publication de ce 3eme livre blanc.