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Voici les 10 principales nouvelles biogaz et en énergie renouvelable dans le monde.
Un décret et un arrêté permettent aux installations de production de biométhane livrant par transport routier à un point d’injection de bénéficier, à partir de janvier 2021, du tarif d’achat. Un décret et un arrêté, publiés vendredi 3 mai, adaptent l’obligation d’achat au biométhane porté. Ces deux textes permettent au biométhane injecté dans le réseau par une installation de production livrant à un point d’injection mutualisé après un transport routier de bénéficier, à partir du 1er janvier 2021, du dispositif de tarif d’achat prévu pour le biométhane directement injecté dans le réseau. Le biogaz porté constitue une alternative au raccordement du site de production.
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Les gros méthaniseurs en cogénération sont quasi-inexistants en France. Les appels d’offres n’ont pas permis de développer la filière. La difficulté à trouver des débouchés pour la chaleur pénalise les projets. Le ministère de la Transition écologique est déçu du volet “méthanisation” des appels à projets pour la production d’électricité à partir de biomasse. Les deux premiers n’ont permis de sélectionner qu’une poignée de candidats. Le troisième, qui vient de se clore, s’annonce tout aussi maigre. Le ministère estime que ce type de projet peine à aboutir, faute de projets robustes. Le colloque sur la méthanisation, organisé en avril par l’Office franco-allemand pour la transition énergétique (Ofate).
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Mise en service en 2011, l’unité de méthanisation Le Jeanne, à Moussonvilliers (Orne), permet une production électrique annuelle de 2 millions de kWh/an. Olivier Bitz, sous-préfet de Mortagne-au-Perche, s’est rendu sur l’exploitation du Groupement agricole d’exploitation en commun (Gaec) Le Jeanne, à Moussonvilliers (Orne, commune nouvelle de Charencey), afin de découvrir l’unité de méthanisation. La famille Le Jeanne (Maxime, Florian et les parents Philippe et Michèle) ont créé un GAEC de 530 hectares avec 120 vaches laitières produisant 1 300 000 litres de lait par an. C’est en 2011 qu’ils décident de mettre en service une unité de méthanisation.
Considéré comme un département pionnier dans le créneau de la méthanisation avec l’existence de douze méthaniseurs et une quarantaine en gestation sur son territoire, les Ardennes par le biais d’un investissement de 30 millions d’euros s’apprêtent à passer la vitesse supérieure dans ce domaine. Avec l’appui du Pacte Ardennes 2022, un plan signé entre l’Etat et le département pour revivifier ce territoire, les collectivités et les opérateurs gaziers (GRDF et GRTGAZ) vont rassembler leurs forces pour que les Ardennes deviennent un territoire expérimentateur et pilote dans le développement du biométhane. L’ambition affichée est d’atteindre 80 méthaniseurs, ce qui nécessite de développer jusqu’à 325 kilomètres de réseaux gaz au cours des prochaines années
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La Commission de protection du territoire agricole du Québec (CPTAQ) donne son aval, mais à certaines conditions, au projet d’implantation à Warwick d’un centre de biométhanisation sur une superficie d’environ un hectare. Ce projet représente des investissements d’environ 10 millions de dollars. Un tel usage industriel, en principe, selon la Commission, devrait être localisé à l’extérieur d’une zone agricole ou, du moins, à un endroit où existent d’autres usages industriels. Mais la CPTAQ a entendu différents intervenants, à commencer par le promoteur, la Coopérative de solidarité Carbone (Coop Carbone), un organisme sans but lucratif visant la réduction des gaz à effet de serre tout en contribuant à la performance des entreprises.
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Moins intensive qu’à l’échelle du Grand Est, la méthanisation gagne du terrain en Alsace à la faveur de projets collectifs portés par l’agriculture. Le méthaniseur à la ferme a le vent en poupe. État des lieux non exhaustif.
Un nouveau joueur s’ajoute dans le secteur du gaz naturel au pays : Solutions de Gaz Décentralisées Canada (DGSC). L’entreprise offre des solutions clés en main d’approvisionnement en gaz naturel comprimé (GNC) et en gaz naturel liquéfié (GNL), notamment pour les véhicules lourds, ce qui comporte la conception, l’installation et la gestion de stations-service privées et publiques. Fondée à Montréal en 2017, la société en commandite est détenue par trois investisseurs-partenaires, soit Hydroméga (Montréal), un producteur indépendant d’électricité depuis plus de 30 ans; Groupe Desgagnés (Québec), un conglomérat spécialisé dans les opérations terrestres et maritimes; et Galileo Advanced Solutions (Argentine, avec un centre de service/formation à Los Angeles), un fournisseur de solutions clés en main de GNC/GNL.
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Pour les autorités lombardes, la publication de cet appel à projets fait écho à une résolution adoptée en décembre dernier visant à soutenir le développement du GNL pour le transport routier. Au total, la région lombarde a débloqué un budget de 2 millions d’euros. Limité aux petites et moyennes entreprises justifiant d’un point de chute sur le territoire, l’appel à projets prévoit une subvention allant jusqu’à 50 % des dépenses éligibles dans la limite de 200.000 euros par station. De quoi financer une dizaine de stations à l’échelle régionale. A ce jour, la Lombardie compte déjà quatre stations GNL en activité.
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Depuis 2013, la ferme Lebbe, à Villefranque, n’avait pas ouvert ses portes pour l’opération De ferme en ferme ; six ans depuis que Paul-Émile Fontan s’est installé. Depuis 2013, la ferme Lebbe, à Villefranque, n’avait pas ouvert ses portes pour l’opération De ferme en ferme ; six ans depuis que Paul-Émile Fontan s’est installé. Les chèvres sont de race alpine chamoisée, une race bien adaptée au château et à la ferme Lebbe. L’exploitation couvre 35 hectares et 135 chèvres produisent 100.000 l de lait par an. Mais pas que… Chez Pierre Lebbe, il y a une fromagerie authentique et de qualité, avec Annick et Popaul aux commandes, il y a la brasserie artisanale produisant la bière bio l’Amalthée, avec de plus le «gaz de chèvre», qui lui permet désormais d’être autonome, côté énergie : un modèle de recyclage et de valorisation des déchets produit de la méthanisation de haut niveau.
Le rapport indépendant Well-to-Wake confirme que le GNL contribue largement à l’atteinte des objectifs pour 2050 de l’Organisation Maritime Internationale en matière d’émissions de gaz à effet de serre (GES) pour le transport maritime. Commandée par SEA/LNG, une fondation à but non lucratif britannique engagée dans la promotion de l’utilisation du GNL comme combustible maritime, cette étude a été menée par la société de conseil dans le développement durable Thinkstep grâce à des données fournies par les équipementiers et les fournisseurs. Le rapport porte sur les émissions de GES des moteurs marins actuels.